J’ai un gros problème, encore…

Publié le 15 décembre 2019 , dans la catégorie Life, Mode

Look robe en velours et blouse blanche pour parler d'un défaut de taille

Un problème de taille qui fait fureur ces dernières semaines. Un problème incontrôlable, difficilement domptable. Un problème fracassant, c’est le cas de le dire. Un problème dégradant, physiquement et matériellement parlant. Un problème difficilement corrigible. Un défaut des plus… désagréable ?

Autant pour l’indécision, je me soigne. Autant pour le manque de volonté, la guérison est en cours. Autant pour l’organisation… je fais ce que je peux. Mais là. Là, je vous jure, c’est peine perdue. Ma peine est perdue. Il n’y a plus rien à faire. Je traîne ce boulet à mon pied depuis bien trop d’années.

Vous vous demandez ce dont je quoi je parle, pas vrai ? Vous vous demandez certainement quel est ENCORE ce défaut dont je vais vous parler aujourd’hui ?Assise en robe marron en velours sur une branche de bois au milieu de la forêt

Eh bien, croyez-moi, si vous me connaissiez dans la real life, dans ma vie de tous les jours, vous ne vous poseriez même pas la question. Ce défaut est invivable pour moi. C’est invivable pour les autres. C’est invivable tout court.

Parfois c’est rigolo. Parfois c’est juste embêtant. Parfois c’est carrément le désastre. Souvent on finit par en rire. Avec le temps, au fil des jours, des semaines, des mois, des années. Mais souvent, sur le coup c’est tout sauf rigolo. Enfin, pour moi en tout cas…

Et je vous jure, on parle de mon défaut de circonstances. Circonstances du vendredi 13, mais pas que. Si seulement il n’apparaissait qu’à cette date. Si seulement. Je resterai enfermée chez moi, sans bouger, au fond de mon lit, dans mon pyjama, devant une série. Mais non ! Ou alors, il faudrait que j’opte pour cette option TOUS les autres jours de l’année… 😉

Ce suspens vous saoule ? Comme je vous comprends. C’est tellement relou et frustrant de lire quelque chose sans savoir de quoi il s’agit. 😛 Mais j’avais envie de faire durer le suspense. De vous mettre dans le contexte de ce défaut, qui n’appartient pas qu’à moi heureusement, mais qui fait de moi… un boulet sur pattes. Et encore, des pattes non stables ! 😛

Ça y est, vous avez saisi mon quatrième défaut ? Non, réellement ? 😛 Bon allez, je vais vous aider.Au milieu de la forêt aux couleurs de l'automne en robe chasuble marron en velours

Mon défaut ? Être maladroite !

Ma maladroitesse ou maladroititude, comme on aime l’appeler à la maison, est encrée en moi. Encrée entre mes mains, mes pieds, dans mon âme. Miss cata’ (très) en chaires et (un peu) en os. 😉

Pas une journée ne passe sans qu’un objet ne s’échappe de mes mains. Pas une journée ne passe sans que je me cogne. Pas une journée ne passe sans que je ne tombe. Pas une journée ne passe sans miss catastrophe ! 😛

Bon, la désorganisation, ce n’est toujours pas ça vous me direz. Étant donné que j’avais prévu de vous préparer mon look de fêtes pour aujourd’hui, nous ne sommes pas encore au point de ce côté-là. Par contre, niveau maladroititude je suis au max de ma forme…

Pour tout vous dire, cet article s’est placé là tout naturellement. Après un vendredi 13 riche en bouletitude, il était tant que je vous parle de tout ça. Que je mette des mots sur mes… exploits ? 😉

Vous êtes prêt(e)s ? La liste de ces dernières semaines / ces derniers jours risque d’être longue. Bien longue. Un peu marrante, pour vous. Un peu gênante, pour moi. Un peu drôle pour tout le monde, quand même !Madame catastrophe au milieu des bois en cuissardes, robe chasuble et blouse blanche

Il y a quelque temps je me suis tordue la cheville. Non pas une fois. Mais deux d’affilée. Oui oui, d’affilée. L’autre jour je me suis cognée dans la porte du four. Dans la partie métallique qui dépasse pour ouvrir cedit four. J’ai gardé un bleu, que dis-je un méga hématome, durant deux semaines. Je fais tomber mon téléphone au moins une fois par jour. Parfois des chutes sans risques, d’autres fois un peu plus douloureuses. Je ne sais pas manger sans m’en mettre partout. Soupe, purée ou yaourt ? Même combat. Mon doigt de pied se cogne dans TOUT ce qui traîne. Le canapé, la chaise, le mur, la table, le lit. (Quelle idée de laisser traîner tout ça aussi.) Souvent j’échappe les choses, comme ça, sans raison. Et sans faire exprès. Des couteaux, du riz, le lait, les épices, mes produits de beauté, mon make-up (coucou Julie, ma poudre se souvient encore de ton sol ! 😛 ). Je pense que dans une journée je passe plus de temps à ramasser les choses qu’à les tenir. Je suis quasi incapable de me servir un cappuccino sans en mettre partout. Je ne sais pas boire sans M’EN mettre partout. Ou en mettre partout. En bref ? Je suis un hématome sur pattes, un petit boulet, une catastrophe à bras ! 😛

Et alors cette semaine, on était sur un grand chelem de la maladroititude. (Pour celles et ceux qui n’auraient pas compris, on est sur un jeu de mots de qualité : une attitude maladroite, la maladroititude… Peu mieux faire, c’est ça ? 😉 )

C’est-à-dire que j’ai passé un vendredi 13 épuisant. Si épuisant que j’ai terminé en appelant ma copine Julie en presque pleurant pour m’excuser de mes bêtises… Vous allez vite comprendre ! 😛Robe chasuble marron portée par-dessus une blouse blanche aux détails dorés Mardi Matin, au milieu des bois aux couleurs automnales

Bon déjà, je me suis réveillée avec un mal aux dents plutôt fracassant. Ça n’annonçait rien de bon, j’aurais dû m’en douter. J’étais en shooting client toute la journée. Super shooting avec produits et mise en scène toussa toussa. Tout ce qui, en temps normal, me fait ultra plaisir ! Mais qui, avec le vent / la pluie / le froid / mon mal aux dents / ma mauvaise humeur, s’est transformé en parcours du combattant.

Je suis arrivée sur le lieu de notre shooting avec mes 10000 (auuuu moins !) accessoires et ma mine de travers. Tellement de travers que premier dégât : j’ai échappé la brique de lait sur le sol en béton. Pas manqué, y’en avait partout. C’était mal barré. Et surtout, je n’avais rien pour nettoyer. (LO-GIQUE !)

Second temps, mise en place de la première mise en scène. Tout en ordre, joliment placé, le vent toujours en place également. Et paf. J’ai lâché le fond une demi-seconde sans réfléchir – et sans écouter mon cher et tendre ronchon du coup – et là : cata. Verres de lait renversé, mise en scène noyée, tout à nettoyer, toujours rien pour nettoyer, plus de patience, on recommence. (Et cette fois, personne n’a lâché le fond. Une fois pas deux quand même… enfin, c’est moi qui dis ça ! 😛 )

Ensuite, c’est simple, je me suis prise les pieds dans mon trépied au minimum 40 fois. J’ai fait tomber mes produits une bonne centaine de fois. J’ai échappé mes accessoires quelques fois. J’ai couru après mes fleurs, me suis versée du lait plein les chaussures, je me suis cognée bien trop souvent. Mais, ENFIIIIN, journée terminée. Enfin, ce que je croyais…Avec le sourire au milieu des bois, en look velours et blouse blanche

Rentrée à la maison, le cul posé sur ma chaise, plus aucun risque. Sauvée ! Ouuuu pas.

Mes fesses confortablement installées sur ma petite chaise de bureau. Mon sac à main posé au milieu de mon lit. Le saladier de ma copine Julie délicatement placé sur ce même lit. Entre ma chaise et mon sac. Vous imaginez la scène ? Non ? Attendez, je vais vous aider.

Mon postérieur toujours sur la chaise, mon sac à main dans la main, le saladier en gré ? Au sol, éclaté. En, approximativement, 8000 morceaux. Un bruit de vaisselle cassée. Un amoureux au regard de diable. Ma tête dépitée. Une fin de journée en beauté ! 😉

Et je terminerai qu’à l’instant auquel je vous écris cet article, après une journée riche en catas, tout s’est plutôt bien passé. Jusqu’au moment où j’ai échappé mon rouge à lèvres rouge écarlate sur mon jean, mes draps blancs, le sol. Et tout ça pour le retirer de mes lèvres parce que je trouvais ça moche. EN PLUS ! 😀

Bingo, je pense qu’on peut s’arrêter là ! Vous avez saisi le genre de mains gauches et pieds gauches j’ai en ma possession. Surtout si un jour vous me proposez de me prêter quelque chose qui se casse, repensez fortement à cet article. Oubliez cette idée, refusez, trouvez une excuse pour ne surtout pas me le confier ! 😛

Mais sinon, même pas peur, toujours voir le bon côté des choses : chaque jour est une aventure ! Je ne sais jamais de quoi demain sera fait, je pars toujours en recherches de nouvelles expériences – catastrophes – à découvrir, et toujours de nouvelles choses – catastrophes – à essayer. Elle n’est pas belle la vie ? 😛Dans un chemin au milieu de la forêt aux couleurs de l'automne

Pour voir le bon côté des choses encore – ouais c’est important hein sinon je pleure – je me dis que je ne me suis pas tordue la cheville une troisième fois. Et ce, malgré le « jamais deux sans trois » alléluia !

Mais si quelqu’un se sent de conjurer le sort, franchement, j’suis pas contre l’idée hein. 😀 Et si vous êtes en recherche de maladroititude – mignonne au début et carrément casse-biiiiip sur le long terme – n’hésitez pas à me contacter : je donne la mienne sans problème. 😛

Sinon, une team de maladroite ici ? Des adeptes de maladroititude ? Des accros de ma maladroitesse ? 😛 Racontez-moi vos jolies aventures en commentaire, qu’on rigole gentiment de nos bêtises tous ensemble !

Et si vous avez kiffé (ceci ne se dit plus depuis plusieurs années… #mamieSandie) cet article et ce nouveau défaut, je vous laisse découvrir celui sur le manque de volonté, celui sur l’incertitude, et celui sur la désorganisation sans attendre. Bonne humeur et défaut assurés ! 😛Look automne/hiver velours et cuissardes au milieu des bois

Pour shopper mon look ou un look similaire :
Blouse Mardi Matin – Robe Cache-Cache (similaire La Redoute) – Cuissardes La Halle – Boucles d’oreilles Adopt’ (similaires Adopt’)

Au milieu des bois une main sur la tête le regard vers le ciel, en robe marron et cuissardesLa blouse en Tencel de la marque Mardi Matin sous une robe chasuble marron, portée au milieu des bois avec le sourire aux lèvresEn robe en velours, blouse blanche et dorée, cuissardes noires, avec le sourire au milieu des boisZoom sur la blouse Lauriers Mardi Matin et mes boucles d'oreilles marrons et beiges Adopt portées au milieu de la forêtEn robe chasuble marron en velours au milieu de la forêtZoom sur les cuissardes en velours noires La Halle portée dans les feuilles automnalesAccoudée à un arbre tombé au milieu des bois, avec le sourire en robe chasuble marronZoom sur le sourire et les boucles d'oreilles beiges Adopt portées

Je vous dis à très vite pour un nouveau billet ! Mais d’ici là, faites bien attention à vous… et pas trop de bêtises ! 😛

Des bisous choux,

LPB.

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